Les scanpaintings sont des images non narratives, obtenues par le passage mouvementé, turbulent du papier cellophane encré, dans un scanner ouvert et fermé aléatoirement jusqu’aux limites de son utilisation (dérèglement).
C’est un travail de développement au sens de faire apparaître des traces — une écriture de la lumière, une matérialisation du flux lumineux.
Chaque variante crée une atmosphère nouvelle qui permet d’engager un jeu de regard, un « scanderere » (monter pas à pas) de l’œil du regardeur qui devrait l’entraîner dans un vertige.